Conditionnement des kits scolaires

L’atelier conditionnement de l’ESAT a, pour la seconde fois, obtenu l’appel d’offre de la ville de Reims pour la préparation des kits scolaires des écoles de la ville. Ainsi, les travailleurs ont la responsabilité de faire 12 000 kits scolaires qui seront distribués dans les 64 écoles de la villes (toutes les écoles publiques mais aussi trois écoles privées et trois instituts spécialisés).

Toutes les fournitures sont disposées en ligne et les stocks sont remplis au fur et à mesure.

Pour réaliser cette production, les travailleurs doivent être organisés. Certains s’occupent de remplir des pots avec toutes les fournitures nécessaires, d’autres approvisionnent les stocks et les derniers mettent les sacs dans des cartons. C’est l’occasion de travailler la numération avec eux. En effet, il faut calculer le nombre de sacs à mettre en carton en fonction des besoins des écoles. D’une école à l’autre le nombre de sacs varie et la totalité des cartons d’une école doit tenir sur une seule palette. De ce fait, en amont de l’assemblage des kits, les travailleurs ont calculé le nombre de cartons pour chaque école et le nombre de sac à mettre dans chaque carton.

De cette façon, le transporteur sait exactement ce qui doit être livré à chaque école, selon la date de leur ouverture.

 

Une fois les sacs remplis ils sont mis en carton.
Les cartons sont étiquetés avec le nom de l’école et le nombre de sacs à l’intérieur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les cartons sont mis sur des palettes. Une palette correspond à une école.

L’ensemble du matériel nécessaire a été livré à l’ESAT mi-juin et tout doit être prêt pour la dernière semaine de juillet. Mais un travail de ce type peut être réalisé en 15 jours par l’ensemble de l’atelier. Les 13 travailleurs se sont donc attachés à respecter les délais.

Les travailleurs regroupent les fournitures dans un pot…
… Avant de les mettre dans les sacs de la ville.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De l’avis de tous les travailleurs présents sur cet atelier : « c’est bien comme travail, ça change » !